Une Larme Parasite
Le plaisir a allumé mon visage pendant que les
couples transformaient le coin en vestibule où nous nous sommes tenus
dans la conversation animée. J'ai jeté mon large ouvert de
bras, ignoré les téléphones de cellules plâtrés à leurs
oreilles, saluées chacune d'elles, d'abord le mari puis l'épouse qui
a suivi légèrement derrière lui.
Inconscient, j'ai manqué l'expression faite souffrir sur
son visage pendant que nous échangions des étreintes. Pendant
que nous séparions, j'ai observé une fuite parasite de larme hors du
coin de son oeil. Il a continué à marcher pendant que je
décalais mon attention à son épouse.
"il l'a juste trouvée dehors que sa soeur a passé loin,"
a dit dans une voix faite calmer. "je suis si désolé," j'ai
répondu, assommé dans le silence. J'ai jeté un coup d'oeil à
travers la manière à temps de voir l'homme se pencher son front
contre le mur lointain. "je pense que nous allons aller," elle
nous sommes ajoutés. "je comprends totalement," j'ai marmonné,
à la perte complète pour des mots. "je suis si désolé," j'ai
répété. Elle a passé pour soulager son homme. Ayant
pourtant pour perdre un parent ou un enfant de mêmes parents je me
suis senti plutôt idiot.
Plus tard, les questions ont couru le rapide-feu par mon
cerveau. Pourquoi la question de la mort nous donne-t-elle une
telle pause ? L'évitons-nous tellement que nous n'apprenons
jamais à faire face quand elle nous fait face ? Ferait-elle une
différence de toute façon ? Ne savons-nous pas à empathize
avec la douleur des autres ? Ne nous inquiétons-nous pas assez
ou est-ce que nous nous inquiétons assez pourtant manquons des outils
ou la compétence ou l'expérience pour améliorer l'appui en période
du besoin ? Ou peut-être aucune réponse ne suffira jamais dans
de tels sujets du coeur et seulement le temps peut remplir ce bailler,
le vide ébréché et laid qui raye les cavités de l'âme.
J'ai pensé à la mère qui perd un enfant à la maladie,
le soldat qui laisse sa vie sur le champ de bataille, les accidents
dont pièce nous a aimé ceux, que la bête sauvage ait appelé la
colère qui éclate des manières violentes avec peu de respect pour
la victime jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Toujours une
constant-souffrance, différente pour chacun de nous pourtant
supporté par tous, grand et petit, jeune et vieux, faible et fort,
sans plus de discrimination qu'un vent d'hurler ou une chaleur de
flambage, venant parfois en rafales, battant parfois sur nous sans
sursis, implacable.
Alors il se fane. La magie de l'élasticité humaine
s'introduit inattendu et va travailler, un sourire clignotant, le
premier rire, une épaule profonde gesticulent qui jette un albatros
de la douleur, un ciel bleu qui obtient réellement noté, un chien
lèchent qui incite une grimace momentanée, un biscuit qui rapporte
une mesure de douceur qui ne disparaît pas immédiatement, une
mémoire qui ouvre la porte pour que la joie parte furtivement en
arrière dedans et pour repose un moment.
Peut-être nous ne la figurerons dehors jamais.
Peut-être il n'y a rien à figurer. Peut-être il est
difficile de parler les goodbyes permanents et le distillateur plus
dur pour les accepter. Peut-être la tragédie fait la manière
pour le vrai amour, un bonheur soutenu dans le contraste de
l'angoisse. Peut-être les larmes enlèvent la peine, une
baisse salée après des autres. Peut-être nous ne sommes pas
censés savoir, sentir juste. Peut-être ?
Le soleil montera demain-a parié votre dollar inférieur
qui demain ?
C'est Une Vue De l'Arête...
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