Bonheur
Quel est bonheur ? Si nous voulons dire par
lui un état de réalisation, quand tout va notre manière, dont en
termes de résultats aussi bien que des efforts (exige une combinaison
providentielle plument et chance), alors elle ne peut pas simplement
être voulu ; c'est en partie, si pas en grande partie, un
cadeau de destin.
Ayant dit ceci, même cette sorte de bonheur est un
produit de positif pensant et action positive, avec la bonne fortune
prêtant une main aidante. En bref, c'est un produit de volonté
dans des circonstances relativement favorables. Mais n'est-il
pas particulier pour impliquer que le bonheur peut être d'un certain
type ? N'y a-t-il pas simplement bonheur et unhappiness ?
Je pense pas. La sorte dont de bonheur la sauge parle est
compatible avec le malheur. Elle est preeminently faire d'en
dedans ? tandis qu'en dehors, le seul préalable c'est que le
sage soit vivant et capable de la pensée. C'est un sentiment de
sérénité, d'être à la paix avec sa situation et de sa conscience,
en tant que domestique bien-ajusté et entièrement commis de la vie,
de l'humanité, de Dieu comme il les voit.
De quelque manière que conscient il est du subjectiveness
? c.-à-d., les différentes limitations et par conséquent
l'imperfection ? de sa vue, il vit à côté d'elle avec la plus
grande fidélité, si aussi avec une bonne volonté de la réévaluer
en critique quand il s'attrape dehors dans un faux pas. Sa
sagesse est pour toujours un travail en marche ; elle est
toujours lacée avec une certaine forme de sottise, qui le laisse
ouvert de ridicule. L'humilité et la compassion, plus
l'humeur sont donc des qualités qu'il cultive. Il raille et se
pardonne, et tâche surtout de s'améliorer. Il ne montre aucune
satisfaction, mais une acceptation de son humanness qu'il est attentif
sur apporter au degré le plus élevé possible de vérité et de
noblesse. Et ce mélange sensible seule de démission et de
lutte ? dans une situation, favorable ou pas ? est en
effet le secret de son bonheur, qui est évidemment une façon sèche
de la joie qui remplit esprit plutôt que coeur.
Il suit que ce bonheur laisse quelque chose être désiré
: bonheur dans le plus plein sens du mot (un état de
réalisation, quand tout va notre manière, en termes de résultats
aussi bien que des efforts), qui est une joie, toujours si douce, que
suffisances l'esprit et le coeur. Quand la sauge éprouve ce
bonheur suprême, il se sent correctement béni, et sait il périlleux
est. En outre, il accepte cette précarité, ou le fait ce manche
de douleur et finalement de mort en avant. Seulement des
batailles sont gagnées dans la guerre de la vie qui inévitablement
? en dépit de chaque effort vaillant de régner ?
extrémité dans la défaite.
Certains indiqueront que le bonheur dans son prétendu
plus plein sens laisse quelque chose davantage être désiré :
la puissance de rendre ce bonheur infini : immesurablement
grand et illimité dans la durée. Parmi eux, certains
choisiront le chemin de la foi, qui mène prétendument à une vie
après la mort merveilleuse, tandis que certains choisiront le chemin
de la raison, qui admet sans croyance attrayante basée sur le rêve
et la confiance déchainée. Ce chemin mène nulle part en ce
qui concerne l'au-delà, ou plutôt est-ce que quelque part c'est
inconnu ? vraisemblablement si différent de ce qui est connu
qu'il excède totalement notre capacité de concevoir de sa nature.
Je compte parmi ces partisans de raison, ces infidèles,
à qui la seule source de signification n'est pas une destination
paradisiacal, dont l'existence est soutenue par aucune évidence
croyable, mais le voyage lui-même, un voyage raboteux et ascendant
d'être sûr, avec une abondance de torsions et de tours, dont
certains sont propices, d'autres pas. Ce voyage est bon en
valeur l'ennui, à mon avis. Il est tellement indépendamment de
la destination mentionnée ci-dessus, qui peuplent sont libres pour
poursuivre aveugle ou respect avec le scepticisme (et avec le
détachement à l'initialisation, dans le meilleur scénario de cas).
Il est tout au sujet de la dignité de la vie et d'aimer et du
plaisir de la réussite à ces tâches difficiles. De cette
perspective, le but de la vie n'en est aucun autres que la vie
elle-même, dans l'association avec nos créatures de camarade ;
et le bonheur est rendu possible ? dans certaines limites
? par nos efforts pour réaliser ce digne, quoiqu'humble but.
Les limites imposées au bonheur mondain peuvent au
commencement coller dans notre jabot, mais après considération due,
car nous nous rendons compte que la vie sans ces limites serait la
mort, nous les acceptons, et nous améliorons leur faisons bon accueil
toujours. La vie est par définition un déclarer dynamique qui
présuppose une tension perpétuelle entre les désirs et leur
satisfaction. Rendez cet absolu de satisfaction, vous résolvez
cette tension et ramenez par conséquent la vie à rien ;
c.-à-d., quelque chose aussi inerte comme pierre. Et ce
rien ? cet inerte quelque chose ? est la mort, comme j'ai
juste précisé. Pas une perspective brillante aux yeux d'un
amoureux de la vie !
Envergures de carrière d'écriture de Laurent Grenier sur
vingt ans. Pendant ce temps il a élargi et approfondi son
worldview, par la fosse de beaucoup de réflexion et d'étude, et à
la fin a ouvré "une raison de la vie," son meilleur travail
jusqu'ici.
Site Web officiel :
http://laurentgrenier.com/ARFL.html
Source D'Article: Messaggiamo.Com
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